ROSTAGNAT Hervé
28 mars 2020

Coronachronique N°8 28/3/2020

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Coronachronique N° 8 28/3/2020 Treizième jour de confinement. 32 964 personnes déclarées atteintes du coronavirus. 3 809 de plus qu’hier. ...
27 mars 2020

Coronachronique N°7 27/3/2020

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Coronachronique N° 7 27/3/2020 Douzième jour de confinement. 29 155 personnes déclarées atteintes du coronavirus. ...
26 mars 2020

Coronachronique N°6 26/3/2020

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Coronachronique N°6 Onzième jour de confinement. 25 233 personnes déclarées atteintes du coronavirus. 2 933 de plus qu’hier. ...
25 mars 2020

Coronachronique N°5 25/3/2020

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Coronachronique N° 5 25/3/2020 Dixième jour de confinement. 22 300 personnes déclarées atteintes du coronavirus. 2444 de plus qu’hier. ...
24 mars 2020

Coronachronique N°4 24/3/2020

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Coronachronique N°4 24/3/2020   Neuvième jour de confinement. 19 856 personnes déclarées atteintes du coronavirus. 3 838 de plus qu’hier. ...
23 mars 2020

Coronachronique N°3 23/3/2020

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Coronachronique N°3 23/3/2020   Huitième jour de confinement. ...
22 mars 2020

Coronachronique N°2 22/3/2020

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Coronachronique N° 2 22/3/2020 Septième jour de confinement. 14 459 personnes déclarées atteintes du coronavirus. 1 847 de plus qu’hier. ...
21 mars 2020

Coronachronique N°1 21/3/2020

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Sixième jour de confinement.  En France, 12612 personnes recensées sont atteintes du coronavirus. Quatre cent cinquante personnes en sont mortes. Soit un taux de létalité de 3.57% qui a augmenté de presque un point et demi depuis le premier jour de confinement. L...
24 février 2020

Olga Tokarczuk : Dieu, le temps, les hommes et les anges par Hervé ROSTAGNAT

TOKARCZUK Olga « Dieu, le temps, les hommes et les anges ».                 Le village d’Antan se situe nulle part mais il se situe en Pologne. Il est au milieu de l’univers mais il est sur la terre. Il n’a pas de frontières mais il est délimité. On ne...
04 janvier 2020

Olga Tokarczuk : sur les ossements des morts par Hervé ROSTAGNAT

« Sur les ossements des morts »… on se demande. Et puis la noirceur du roman nous révèle la noirceur du titre. Mais celui là ou un autre. Enfin l’auteure, à la toute fin du roman, décrivant le basculement de l’automne vers l’hiver, récite pour elle-même, approximativement, un vers de William Blake : « Conduis ta charrue par-dessus les ossements des morts »....